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| Sujet: « ok » Shay un océan...d'ennuis Mar 16 Déc - 15:42 | |
| « shaysea lincoln » [img][/img] «si tu regardes au ciel, que ton regard rencontre la plus jolie des étoiles sache que c'est moi qui t'observe d'en haut et prends soin de toi»
▌vos papiers; svp
prénom(s): shaysea aleksandra natasha aliénor émeraude lisbeth nom: lincoln surnom(s): shay âge: nineteen years old née le o2 JUILLET 1989 à Johannesbourg (Afrique du S.) ; situation: je suis fiançée, pour mon plus grand malheur... emplois: actrice
▌à propos de vous précisément
fille de Svetlana Romanova & Harry Lincoln. Ma mère est originaire de Russie, elle a quitté ce magnifgique pays vers l'âge de 16 ans pour une carrière de mannequin aux Etats-Unis. Aujourd'hui à 39 ans (eh oui elle m'a eue à 20 ans), elle est une femme d'affaires avisée, et dirige d'une main de fer sa propre maison de couture, dont je suis l'une des effigie. Mon père, cet homme toujours bien habillé, aux cheveux grisonnants, au regard bleu acier, qui se tient toujours raide, dont une seule parole peut vous briser, se nomme Harry. Il est l'un des descendants de Lincoln, un des présidents des Usa. Il est froid, rigide, et tout comme ma mère, il est à la tête d'une entreprise. La Lincoln Corporation est une entreprise familiale spécialisée dans le pétrole. soeur de personne; en tout cas à ma connaissance je suis fille unique, sauf si mes parents ont eu des relations extra-conjugales.
quelle relation entretenez vous avec votre famille ? nos relations sont assez tendues, principalement avec mes parents. ils n'ont jamais beaucoup apprécié ma façon de vivre, ils voudraient que je me range. C'est d'ailleurs eux qui ont forcés mes fiançailles avec ce richissime industriel qui est de plus de cinq années mon aîné. J'aimais beaucoup ma grand-mère maternelle, qui était originaire de Russie, elle représentait énormément pour moi, son décès m'a beaucoup peiné. Mes autres grands-parents je ne les ai pas connus, et le reste de ma famille moins je les vois mieux je me porte, nous n'avons rien en commun, et je ne suis pas stupide au point de croire que ma cousine Laurenne s'est subitement attachée à moi peu après mon premier grand succès.
avez vous une passion ? plusieurs notamment la danse classique, mais jouer la comédie, sourire devant les caméras, c'est ce qui me plait le plus.
depuis quand la pratiquez vous ? Mmm, aussi loin que je m'en souvienne. Néanmoins j'ai commencé les cours de théâtre à l'âge de 6 ans. Mais je n'avais que quelque mois, lorsque je suis passé pour la première fois pour des pubs à la tv; ma carrière a surtout commencé grace à la pub...
en avez vous fait votre métier ? Oui.
quel est maintenant, au jour d'aujourd'hui votre plus grand souhait ? rompre mes fiançailles...ce n'est pas que je ne veux pas me mamier, mais je ne désire pas qu'il soit mon mari, me réveiller chaque matin à ses côtés, très peu pour moi. Il n'est pas fait pour moi.
que regardez vous en premier chez le sexe opposé ? ses fesses (a) chez un homme, ses yeux chez une femme, eh oui je suis bi
vous croyez au coup de foudre ? bien sûr :)
qu'aimez vous dans la vie ? m'amuser, patiner, dessiner, lire, théâtre & écrire et evidemment j'aime et j'abuse de mon statut de célébrité.
suivez vous un régime particulier ? je mange ce que je veux, quand je veux, je ne grossis pas. J'ai une faiblesse pour le chocolat au lait, ainsi que pour les printen =P Sinon je suis allergique au miel et aux amandes (snif)
comment vous décririez vous en trois mots ? Trois mots c'est trop pour décrire la perfection que je suis. Mais comme vous en voulez trois...parfaite, parfaite & parfaite (a)
un objet fétiche ou que vous portez toujours sur vous ? en plus de mon bracelet Pandora reçu il y a quelques années, et avec lequel je joue très souvent, j'ai un pendentif de ma grand-mère qui ne me quitte pas :)
votre caractère: On me reproche souvent d’être trop délurée. Je suis la joie de vivre incarnée, et je croque la vie à pleines dents. J’aime m’amuser. Lorsque les langues se délient et que les gens parlent dans mon dos, persuadés que je ne les entends pas, ils parlent de moi comme d’une fille facile. Ce genre de fille que l’on trouve à tous les coins de rues des quartiers malfamés, le genre de filles qui en contre partie d’argents se déshabillent et font monter leur compagnon au septième ciel. Je ne suis pas une pute, je ne fais pas ça pour l’argent. J’ai une existence menée par des mœurs assez légères, mais quel mal y a-t-il à vouloir faire la fête ? A s’amuser ? A profiter de sa jeunesse ? Je suis comme ça, je profite, je ne veux pas avoir de regrets par la suite. Ce que les autres pensent de moi je m’en fiche complètement, cela ne me fait ni chaud ni froid d’être aimée ou détestée. Ce qui importe c’est de se sentir bien dans sa peau, d’être fier de ce que l’on est, c’est s’assumer. Je m’assume, comme j’assume tout ce que je fais. Je ne dis pas que j’encourage tout le monde à mener mon existence, car à beaucoup elle ne conviendrait pas ; mais je m’en accommode. Extravertie ? Assurément. Je ne suis pas le genre de personne à rester dans un coin, attendant patiemment que quelqu’un daigne venir m’adresser la parole. J’ai l’habitude de faire le premier pas ; mais il n’y a pas que ça ; je suis complètement cinglée ; j’adore monter aux arbres et crier haut et fort que je suis la meilleure. J’aime aussi frôler les interdits et jouer avec le feu. Lorsque j’étais enfant, mes parents m’interdisaient de manger de la viande, aujourd’hui je ne mange plus que ça ; on dit de se protéger lorsque l’on a des relations sexuelles pour éviter toutes maladies, mais je ne le fais pas, savoir que je risque de contracter une malade qui peut causer ma mort m’excite terriblement ; j’aime aller jusqu’au bout de mes limites, pour savoir où elles sont. Peut-être qu’un jour je ferais une overdose et qu’est ce que cela fera ? Je suis persuadée que si je dois mourir de cette façon, cela arrivera. Je crois au destin, et je suis extrêmement superstitieuse. Essaye de me faire marcher sous une échelle, et en contrepartie, mes ongles acérés s’enfonceront dans ta chair fraîche. Enfin, j’use aussi de mes dents, car mes ongles je les ronge si souvent qu’ils ne risquent pas de faire de mal à une mouche. Trop de nervosité dans ce monde. Je n’arrive pas à me contrôler. Impulsive, je réfléchis en général après avoir réagi. Gourmande, aucune pâtisserie ne me résiste. Avide, je veux TOUT ; et rien ne m’échappe ; lorsque Shaysea veut, Shaysea a. Narcissique ? Probablement. Je me considère comme le centre du monde, je ne supporte pas d’être ignorée, reléguée au second plan. Je suis donc j’existe. Vous ne pouvez pas passer à côté de moi, rappelez vous que je suis au centre de tout. Un tout, un vide, il m’arrive de parler de moi à la troisième personne du singulier. Mm j’avoue, je suis coupable. Coupable de penser que Shaysea est une autre personne que moi, une personne fascinante, qui ne ressemble en rien à la dépravée que je suis. Un côté de ma personnalité que beaucoup de personne ont du mal à cerner ; un trait de caractère qui dénote dans l’arrogant personnage que je suis ; romantisme. Un bout de mon existence. Je suis trop difficile. Quand arrivera enfin mon prince charmant sur un beau cheval blanc ? Je regarde trop de films, lis trop de romans. Je ne me satisfais pas de ce que la vie m’offre. Peut-être est-ce pour cela que je ne me pose pas, que je n’arrive pas à construire de relations sérieuses. Une goutte de gentillesse dans un monde infortuné. Etrange comme il peut m’arriver d’être gentille, douce comme un agneau. Uniquement par profit ? Pas spécialement. Je suis sûrement une cruche, mais avec les animaux je ne sais pas être méchante ; sauf si c’est une araignée ; ma phobie, je ne les supporte pas. Même si on me prend souvent pour une écervelée, je suis loin d’être stupide. Intelligente, au regard acéré, aux manières grotesques ; je ne me laisse pas marcher sur les pieds. Fêtarde, je succombe à tous les délices qui sont généralement refusés aux gentilles petites filles de bonne famille. Mais en suis-je seulement une ? Qui connaît ma vraie histoire ? Menteuse, mythomane, cleptomane, voleuse, ne me faites pas confiance. A me croire, vous vous brûlerez les ailes ; et vous risqueriez de tomber de bien haut. La douleur d’être trahis par les personnes qu’on aime, celles en qui on a confiance ; est la pire des souffrances qu’une personne peut endurer.
▌sinon en hors-jeu...
prénom, pseudo, âge: je ne me présente jamais, sachez juste que je suis majeure :P où avez vous découvert le forum ? via Elise mais également via Sn une remarque ou suggestion à faire pour celui ci ? Non, mais je préfèrais le premier design (a) à quel fréquence pourrez-vous être présent ? pendant les vacs environ tous les jours avatar choisi : bonne question...A-M VD un exemple de post (peut être prit d'un autre forum): - Spoiler:
Une silhouette fine et galbée se distinguait à l’horizon. On ne voyait pas qui c’était. Mais on pouvait sans difficultés dire qu’elle était petite et très mince. De dos on aurait pu penser que ce n’était encore qu’un enfant. Une petite fille qui se mouvait avec une aisance sans pareil. A l’ombre du cerisier elle disposa une couverture de soie bleue. Bleue comme le ciel en plein été dans le sud de la France. Un bleu intense, tout en étant doux, un bleu qui ne se ternit pas, et donc l’éclat subsistera à jamais. Douce comme la peau satinée de la demoiselle qui s’affairait à la tâche. Ses longs cheveux chocolat flottaient dans son dos, transportés par la brise fraîche de cette matinée. Le soleil se levait à peine ; éclairant de ses rayons le beau paysage verdoyant. Soudain une bourrasque plus intense que les précédentes fouetta le visage de la demoiselle qui, sous la surprise lâcha la couverture qu’elle tentait d’aplatir sur le sol. Voyant que son précieux objet disparaissait au loin, elle se mit à courir pour la rattraper. S’asseoir sur le sol encore boueux et humide par la rosée du matin salirait sa belle robe. Une belle robe en coton vert d’eau, assorti à son regard azuré qui suivait la couverture qui s’éloignait. La saisissant, elle fût ravie de l’avoir récupérée. Elle était persuadée de l’avoir perdue à jamais, persuadée qu’elle ne la récupérerait jamais, et voilà qu’elle la tenait bien en main. Souriant, elle retourna sous son cerisier en fleur, Sakura, étala sa couverture, qui cette fois-ci n’émit aucune protestation et se laissa tomber. Malheureusement, ce qu’elle n’avait pas prévu, c’était de tomber en arrière et percuter sa tête sur le tronc de l’arbre. Décidément Mlle Aizawa était d’une maladresse presque mortelle. Depuis sa plus tendre enfance elle ne cessait de tomber, de trébucher et de se blesser. Tout avait commencé alors qu’elle n’était encore pas plus haute que trois pommes. Déjà à cette époque ses parents la surnommaient Miss Catastrophe. Elle faisait ses premiers pas ; et tomba malencontreusement dans l’escalier. Ses parents eurent la plus grande peur de leur vie ce jour là ; ils étaient persuadés que leur petite chérie était gravement blessée, qu’elle garderait des séquelles à vie, ou pire, qu’elle ne survivrait pas. C’était donc plein d’anxiété qu’ils s’étaient précipités en bas de l’escalier ; pour découvrir la petite fille qui jouait avec une plante verte, mordant dans l’une des feuilles pour savoir quel goût cette dernière avait. Remis de leur émotion forte, ils avaient toutefois toujours gardé en mémoire cet événement. Mais la petite n’avait présenté aucun problème de motricité par la suite ; mis à part son côté maladroit qui se confirmait au fil des années. Assommée par le choc de sa tête contre l’arbre, elle sombra peu à peu dans le noir le plus total. Le temps s’écoula ; et c’est en sentant des mains la toucher et la secouer, qu’elle se décida à rouvrir les yeux. La première chose qu’elle vit était le soleil qui se couchait ; dire qu’à son arrivée il se levait à peine, que lui était-il arrivé durant tout ce temps ? Pouvait-elle avoir sombré dans l’inconscience durant une journée ? Le ciel s’assombrissait, quelque étoile parsemait déjà celui-ci, scintillant de mille feux. Puis le visage inquiet qui s’était penché sur elle reprit ses traits. Sa sœur. Satsuki lui souriait, mais on voyait qu’elle avait peur. Sa petite sœur lui ressemblait beaucoup ; les mêmes cheveux ombrageux, le visage aux traits fins, une taille tout aussi fine ; malgré les deux années qui les séparaient on aurait pu les prendre pour deux jumelles, si seulement Hanae n’avait pas le regard bleuté de sa mère. Hanae passa une main sur celle de sa sœur pour la rassurer, lui prouver qu’elle était bien vivante, puis elle glissa jusqu’à sa tête qui lui résonnait douloureusement. Quel mal de chien. Se massant le bas du crâne, elle grimaça à la douleur fulgurante qui la traversa. Immédiatement, elle se ressaisit, les traits contractés de sa sœur ne lui avaient pas échappés.
- Maman est furieuse. Tu devais être de retour pour 19H. Les associés de papa sont à la maison ; et il voulait nous présenter ses deux petites filles modèles. Et toit tu disparais, et tu les inquiète. - C’est bon, je n’ai pas fait exprès non plus. Je voulais un peu profiter de l’air frais, j’étouffe à la maison, je voulais juste m’évader un peu. - Oui, mais là tu vas être punie. Allez, lèves-toi. Oh ta robe est toute sale ! - Ce n’est pas grave. - Mais si, tu devais la mettre pour accueillir les invités. Insouciante comme tu es, tu vas tout gâcher. - Je mettrai la rose en mousseline. - Celle-ci te va mieux. - Oui mais là elle ne convient pas, à moins que je ne la laisse et montre cette superbe robe toute tâchée à tout le monde. - Papa aurait une attaque. - Oui, allez rentrons.
Repliant la couverture, Hanae la roula sous son bras, et avec sa sœur reprit le chemin qui conduisait à la splendide demeure familiale. Il faisait froid tout à coup, resserrant ses bras autour d’elle, Hanae ne pût réprimer un frisson. Il faisait froid, elle aurait du prendre une veste. Elle allait encore tomber malade, et cela ne causerait que des soucis supplémentaires à ses parents. Insouciante, tête en l’air, et continuellement malade, Hanae était vraiment une faible nature. Heureusement qu’elle avait sa petite sœur, pour lui remonter le moral et lui tenir compagnie lorsqu’elle était coincée dans son lit, un thermomètre dans la bouche et une bouillote sur le front. Sa sœur, son amie, la seule, pour combler le vide dans l’existence de la jeune asiatique qui avait pourtant tout pour être heureuse, mais qui était désespérément seule. Un extra-terrestre qui avait vu le jour à la mauvaise époque, au mauvais moment ; une douceur qui s’étiolait, et qui n’était pas à sa place dans ce monde ; voilà comment Hanae Sayuri Aizawa se qualifiait.
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